On parle beaucoup d’hybridation du travail. Comment s’opère-t-il, quels sont ses enjeux et ses risques ?
La crise du Covid a accéléré la révision des méthodes de collaboration et de management : télétravail versus travail en présentiel.
Les employés envisagent leurs façons de travailler différemment : le passage au télétravail total ou partiel n’est plus un tabou. Ils ont pris conscience de certains avantages : fin des contraintes de transport, modularité des horaires, etc.
Mais cette accélération vers de nouvelles méthodes de production et de management n’a été possible que grâce à une digitalisation massive des entreprises pour répondre aux besoins de leurs employés et pour permettre plus d’efficacité dans la collaboration.
Dans le cadre d’une intervention lors d’un webinar organisé par PALM, agence RH dont l’ambition est de vous aider à piloter vos talents sans en oublier aucun, Hélène Campourcy et Jean-François Prince échangent sur le monde du travail post Covid. Hélène Campourcy propose deux exemples concrets d’étude des avantages et limites du travail hybride :
- Une étude dans le secteur de la Défense qui montre une perte de la créativité dans les réunions à distance
- Et un exemple avant-gardiste de 2009, d’entreprise mettant en place le WAHA, Work At Home Agent, premières expériences d’hybridation du travail